mercredi 4 juin 2008

Press Conference



Conference de presse

organiser par

LE CONSEIL BAHAIS DE LILE MAURICE

le 3 juin au St George Hotel Port Louis


L'essensiel de la conference

Mme Sylvana Dholah ouvrant la conference de presse avec les preoccupation de la Commmunaute Mondiale Bahais du recent arrestation par les autorités iraniennes sans aucune explication, six des sept membres responsables, sur une base ad hoc, de la communauté bahá’íe en Iran.

Ce nouveau coup porté à une communauté non-violente et respectueuse des lois iraniennes démontre la volonté implacable du gouvernement iranien de venir à bout de la plus grande minorité religieuse d’Iran avec 300 000 membres.

ces arrestations continu Mme Homa Mungapen sont pour nous extrêmement préoccupantes. En 1980, les autorités iraniennes s’étaient déjà attaquées à l’instance dirigeante élue de la communauté iranienne, et l’ensemble des neuf membres avait disparu sans laisser de trace. Huit des neuf membres de l’institution reformée l’année suivante avaient été exécutés le 27 décembre 1981 ».

Le climat actuel en Iran semble augurer une fois de plus de prochaines atteintes graves aux droits de l’homme. Cette situation alarme vivement les associations et organes de défense des droits de l’homme, s’agissant en particulier du sort de la communauté bahá’íe d’Iran, persécutée depuis maintenant 28 ans par le régime révolutionnaire.

comme des milliers d’autres qui depuis 1979 ont été tués, emprisonnés et opprimés, sont persécutés au seul motif de leurs convictions religieuses. La meilleure preuve de ce fait est que, régulièrement, les bahá’ís se sont vus proposer la liberté s’ils renonçaient à leur croyance et se convertissaient à l’Islam, une option que peu d’entre eux ont choisi.

“ Loin d’être une menace à la sécurité d’Etat, la communauté bahá’íe d’Iran aime son pays et est profondément impliquée dans son développement. La meilleure preuve en est que la vaste majorité des iraniens bahá’ís sont restés en Iran malgré l’intensité des persécutions, le fait que les étudiants, privés d’accès à l’éducation en Iran et contraints d’étudier à l’étranger, sont retournés au pays pour participer à son développement, ainsi que les efforts récents des bahá’ís de Shiraz pour éduquer des enfants défavorisés, efforts sanctionnés par l’arrestation de 54 bahá’ís en mai 2006 ”,

en reponse a une question dun journaliste de la MBC monsieur Laval zephyr a repondu
Le Centre mondial bahá’í se trouve en Israël car Bahá’ú’lláh fut envoyé en Terre Sainte, qui était à l’époque la Palestine, au milieu des années 1800 en tant que prisonnier par deux pays musulmans, la Turquie ottomane et l’Iran.

Ces accusations, courantes depuis les 30 dernières années, ne sont rien de plus qu’un effort du gouvernement pour encourager l’animosité à l’encontre des bahá’ís dans la population iranienne. Il ne s’agit que d’un élément supplémentaire d’une longue histoire de tentatives d’incitation à la haine contre les bahá’ís en les taxant d’être des agents au service de puissances étrangères, tels que la Russie, le Royaume-Uni, les Etats-Unis et maintenant Israël.

Tant a Mr Balram appadoo
Les bahá’ís, qui sont à la fois non-partisans et non-violents, font face à un gouvernement qui, pour des raisons idéologiques, a entrepris de bloquer le développement de la communauté bahá’íe non seulement par des arrestations, du harcèlement et de l’emprisonnement, mais également en privant la jeunesse d’éducation et les adultes de moyens de subsistance.

Il serait intéressant de savoir quels motifs de sécurité d’Etat étaient en jeu lors des incidents récents telles que la destruction d’un cimetière bahá’í et l’utilisation d’un bulldozer pour écraser les os d’un bahá’í enterré là ; le harcèlement de centaines d’enfants bahá’ís dans les écoles par les enseignants et les responsables afin de leur faire renier leur foi ou encore la publication de dizaines d’articles diffamatoires anti-bahá’ís dans Kayhan et d’autres médias soutenus par le gouvernement dans les récents mois. ”

note également que de nombreux responsables gouvernementaux et religieux, ainsi que des membres de l’institution judiciaire ont relevé, en privé, la conduite non-partisane de la communauté bahá’íe et le caractère injustifié des accusations contre les bahá’ís. L’idéologie actuelle du gouvernement est largement fondée sur la croyance qu’il ne peut exister de Prophète après Mahomet. La foi bahá’íe pose à ce sujet un défi théologique.

“ La liberté religieuse est en cause et la République islamique d’Iran est signataire de conventions internationales reconnaissant cette liberté aux individus, incluant le droit de changer de religion.

Ce que le gouvernement iranien ne peut pas tolérer est que le peuple iranien soit moins influencé par la propagande gouvernementale, car il constate la réalité qui est que les iraniens bahá’ís aiment leur pays, sont sincères dans leur désir de contribuer à son développement ; paisibles et respectueux des lois, des qualités résultant de leur croyance. Les soutiens prenant la défense des bahá’ís, tant en privé qu’en public, à tous les niveaux de la société sont de plus en plus nombreux, l’intérêt et l’attractivité de la communauté bahá’íe augmentant au sein de la population ”


Papijoon / Independent blog writer

Aucun commentaire:

WELCOME--Thank you for your visit -- you are visitor's No
Cingular
Free Cell Phones