samedi 16 juin 2007

LIVA PAYANIANDI, DE CONFESION BAHA’IE, 24 ANS :



« La base de ma croyance : l’unité et l’union dans la diversité » « Je suis née dans une famille de Bahá’í, mais j’ai toujours été enflammée par la foi. À 15 ans, nous devons déclarer si oui ou non nous allons suivre l’enseignement de Báb, l’annonciateur du prophète Bahá’u’lláh et des saintes écritures du prophète, ainsi que celles de Abdu’l-Bahá, son fils. Je n’ai pas hésité une seconde. Pour tous les problèmes, je sais que j’ai une solution divine car dans la prière je trouve la confiance et la force de me dire que dans toute calamité il y a du bon, et même une preuve d’amour de Dieu. J’ai aujourd’hui 24 ans et, de 2006 à 2011, j’ai des activités spécifiques à faire. Quatre “actes de services” font partie de ce plan, et ces activités consistent en des réunions de prières, des classes pour enfants, pour les jeunes et des cercles d’études. J’ai étudié les sept livrets Bahá’í et je mets en pratique les théories telles que l’enseignement de la foi ou les séances de discussion. J’initie aussi ceux qui portent un intérêt à la foi Bahá’íe. Lors de ces actes de services, tout le monde est le bienvenu car nous croyons, entre autres, à l’unité du genre humain et des religions. Je comprends et je reconnais les prophètes et les paroles des autres religions. C’est la base de ma croyance : L’unité et l’union dans la diversité. Je précise que les écrits Bahá’í ont été traduits à Maurice en anglais, français, créole, ourdou, hindi, tamoul et mandarin. Bahá’u’lláh a écrit : “La religion de Dieu a pour but l’amour et l’union. N’en faites pas une cause d’inimitié et de conflit.” Il faut aussi savoir que la communauté Bahá’íe n’a pas de clergé. Notre prophète a mis en place des institutions que l’on pourrait qualifier de démocratiques car les trois corps administratifs sont élus. Il existe l’assemblée spirituelle locale, qui est gérée par l’assemblée spirituelle nationale, sise à Port-Louis, et il y a la Maison universelle de Justice qui se trouve à Haïfa, en Israël. Il n’y a pas de métier Bahá’í, pas de rémunération, c’est une façon de vivre, et lorsque l’organisation sollicite notre aide, nous répondons à l’appel. C’est évident que nous devons travailler pour avoir un toit, des vêtements, un peu de loisirs ou de confort, mais il faut de la modération pour toute chose. Les gens veulent souvent de plus en plus de choses et la spiritualité combat ces excès. L’attachement excessif aux biens et au confort n’apporte pas la paix. »
-->Kaline RAULTCorina JULIE
souce express dimanche du 17 juin 2007

2 commentaires:

Papijoon a dit…

U R WONDERFUL Liva
All the best
jo

. a dit…

to note: bahai administration is not purely democratic in nature. For more information please refer to the World Order of Baha'u'llah written by S.Effendi.
"The Administrative Order of the Faith of Bahá'u'lláh must in
no wise be regarded as purely democratic in character...." The World Order of Baha’u’llah, Shoghi Effendi, p. 135

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